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15 DE MAIO DE 2021

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Debates de atualidade, a 20 de abril

• Passaportes ou certificados COVID: proteção dos direitos fundamentais e implicações legais,

iniciado pelo Deputado Damien Cottier (Suíça, ALDE), nomeado pelo bureau, e contou com a participação de seis oradores.

O Deputado Luís Leite Ramos (PSD), na qualidade de Presidente da Comissão de Assuntos Sociais, Saúde e Desenvolvimento Sustentável, fez a seguinte intervenção durante o debate:

«Mesdames et Messieurs, chers collègues. Je suis sincèrement reconnaissant de la tenue de ce débat sur les passeports ou certificats COVID-19.

Comme vous le savez, la commission des questions sociales, de la santé et du développement durable que

j'ai l'honneur de présider avait proposé un débat d'actualité sur le même thème, avec une petite différence: Nous

avions proposé d'examiner non seulement les droits humains et les implications juridiques, mais aussi la santé

publique.

Les préoccupations en matière de droits fondamentaux sont recevables et seront abordées par d'autres. J'ai

le devoir de vous rappeler les répercussions sur la santé publique, la double entrée des certificats de vaccination.

Tout d'abord, la pharmacovigilance, c'est-à-dire garantir que les vaccins sont sûrs et efficaces. Deuxièmement,

le contrôle des infections ou comment s'assurer que les voyages internationaux ne causent pas des nouvelles

infections.

Sur le premier objectif, la pharmacovigilance, le certificat de vaccination COVID-19 s'est déjà avéré

inestimable. Concernant le second objectif, la lutte contre les infections, les certificats de vaccination COVID-19

seront presque inutiles. La raison est que les vaccins disponibles – heureusement qu'ils sont là, ne vous

méprenez pas sur mes propos – ne sont pas conçus pour arrêter l'infection mais plutôt pour éviter les formes

graves de maladie et la mort. Quand un pays exige que vous soyez en mesure de prouver votre vaccination

contre la fièvre jaune, ce n'est pas seulement pour vous protéger contre les infections mais aussi pour se

protéger. Si vous êtes vacciné contre la fièvre jaune, vous ne pourrez plus l'attraper ou la transmettre. Ce n'est

pas le cas des vaccins COVID-19 à votre disposition.

Même s'il est moins probable que vous soyez infecté vous-même si vous être vacciné et que votre charge

virale est plus faible, il reste un risque d'être infectieux. Avec les nouveaux variantes, l'efficacité des vaccins

COVID-19 existants semble diminuer. Même le fait d'avoir subi une infection grave avec le virus d'origine l'année

dernière n'offre pas une protection suffisante contre le variant P1, par exemple.

En d'autres termes, l'utilisation des certificats de vaccination COVID-19, la conception de nouveaux

passeports ou laissez-passer afin d'ouvrir les frontières aux voyages internationaux ou autoriser une activité

risquée en période de pandémie nous éloignent de notre objectif numéro un en matière de santé publique et de

lutte contre les infections. Tout cela va prolonger la pandémie et conduira à plus de souffrance et de morts.

C'est la raison pour laquelle l'Organisation mondiale de la santé y est tout aussi opposée. La meilleure

manière de mettre fin à cette pandémie est de suivre les orientations que l'Assemblée a donné dans la résolution

2361. Il nous faut une coopération, une coordination internationale afin d'assurer une distribution sûre, efficace

et équitable des vaccins contre le virus partout dans le monde. C'est là notre défi d'aujourd'hui.

Je vous remercie de votre attention.»

• Prisioneiros de guerra arménios, prisioneiros em cativeiro e pessoas deslocadas, o debate foi aberto pelo Deputado Alain Milon (França, PPE/DC), nomeado pelo bureau, e contou com a participação de 17 oradores.

O Deputado Paulo Pisco (PS) fez a seguinte intervenção durante o debate: «Chers collègues. Nos collègues d'Azerbaïdjan n'apprécient peut-être pas que nous tenions aujourd'hui cette discussion sur les

prisonniers de guerre arméniens, mais c'est ici, dans ce forum pour la paix et les droits de l'homme, que nous

devons discuter et insister pour que tous les prisonniers de guerre arméniens, militaires et civils, soient libérés

et que toutes les autres questions liées à ce problème soient résolues de manière équitable.