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Anexo II – Talking Points da Deputada Emília Cerqueira (PSD) sobre violência doméstica (francês)

Sessão da 3.ª Comissão Permanente: Diálogo entre Civilizações e Direitos Humanos

Relatório e Recomendação sobre «Resolver a violência doméstica no Mediterrâneo: oportunidade global para a mudança local» e a respetiva recomendação com o tema

«Membros da APM para o fim da violência doméstica», Deputada Sandrine Mörch (França)

Deputada Emília Cerqueira (PSD)

Points de discussion

• Je propose que l'intervention commence par applaudissement du travail de recherche et de

diagnostic approfondi de la situation dans la région méditerranéenne et la cartographie des

réponses et solutions innovantes dans chaque État membre, qui constituent un outil pour les

législateurs;

• La violence domestique est un phénomène transversal. Les statistiques montrent que ce

sont les femmes qui sont les principales victimes de ces comportements. Alors il est

important de souligner que la violence domestique n'existe pas seulement entre conjoints de

sexes opposés, mais aussi dans les couples homosexuels, et qu'elle ne s'exerce pas

uniquement à l'encontre des femmes, puisqu'il existe déjà des cas de violence dont les

victimes sont des hommes, des enfants ou des personnes âgées;

• L'Organisation Mondiale de la Santé affirme qu'un tiers des femmes dans le monde, soit 736

millions, ont déjà subi des violences physiques ou sexuelles de la part d'un partenaire ou

d'une personne de leur entourage;

• Au Portugal, le crime de violence domestique est qualifié de crime public selon l'article 152

du code pénal. Cela signifie que la procédure pénale ne dépend pas d'une plainte de la

victime: une dénonciation ou la connaissance du crime aux autorités sont suffisantes;

• Le contexte de risque soulevé par la COVID-19 a imposé l'isolement social et l'enfermement

sous le slogan #stayhomesavelifes qui appelle à rester chez soi comme une icône de la

sécurité personnelle. Cependant, la violence domestique met en évidence que les

géographies sociales de la peur des femmes sont souvent déplacées de l'espace public, où

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