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696 DIÁRIO DAS SESSÕES N.º 135

II mercato interno si è mantenuto vivace anche durante il mese di dicembre, con tendenza costante all'aumento, a seguito della prevalente richiesta da tutti i centri di consumo del Paese, alla quale e faceva riscontro un'offerta minima da parte dei detentori, i quali si mantenevano estremamente riservati.
Nella seconda decade di dicembre la tendenza al rialzo si è arrestata e nella tersa decade si è potuto assistere ad un inizio di ripiegamento.
Questo cambiamento viene, in parte, attribuito ai
provvedimenti adottati dal Governo Ellenico, il quale ha proibito qualsiasi esportazione d'olio di oliva, sia in fustiche in latte litografate. Tale provvedimento colpisce anche le vendite concluse precedentemente, anche se basate su apertura di credito effetuata precedentemente alla promulgazione del provvedimento. Il cambiamento di tendenza del mercato viene attribuito anche alle vendite massicce di olio di seme a prezzi sensibelmente inferiori a quelli dell'olio di oliva.
Il mercatto delle olive, nel dicembre 1955, si è mantenuto fermo, com prezzi uguali al mese precedente.

ANEXO XXXVII

Grécia

(Extracto duma nota da Station de Reserches de Technologie Agricole, de Atenas, de Março de 1956)

La production d'huile d'olive en Gréce pendant la dernière récolte 1955-56 a été évaluée à 90 000 tonnes environ, malgré que la statistique du Ministère de l'Agriculture insiste que doit être calculé à 100 000 tonnes environ. En outre nous avons cette année une production de 12 000 tonnes d'huile de coton (production nationale) et jusqu'à 4000-5000 tonnes d'autres huiles de graines (sésame, tournesol, etc.).
Les quantités des huiles des graines importées jusqu'à présent en Grèce, à partir du l novembre 1955, se montent à 21 000 tonnes; on estime qu'elles s'élèveront à 35 000 tonnes jusqu'à fin mai prochain. De ces quantités importées seulement 4500 tonnes environ sont achetées, pour le moment, de la part de la i-consommation nationale; les restes sout emmagasinés en vue de contenter toute demande éventuelle.
La vente des huiles des graines au public est libre; peu avant, les vendeurs en détail étaient obligés d'avoir en vente aussi un mélange d'huile d'olive 85% avec 15 % d'huile de graine. Actuellement les vendeurs en détail étaint obligés de vendre, en même temps, l'huile de graine puru seulement et les acheteurs peuvent faire tout mélange voulu; ainsi n'existe plus l'obligation du mélange des huiles de la part des vendeurs.
La vente d'huile d'olive dans le marché national est complètement libre: elle fut ainsi libre toujours. Mais l'exportation dhuile d'olive est interdite jusqu'à présent; à la suite de ces mesures les prix de vente des huiles d'olive, qui restent toujours libres dans le marché national, sont, en même temps, retranchés de toute influence de la part des prix internationaux et sont gardés à un niveau bas; ainsi les huiles d'olives 5% d'acidité sont payées aujourd'hui aux producteurs (franco-magasins des grossistes) à 17 drachmes par kilo, sóit 567 dollars U.S. par tonne. Ces mesures ont été indispensables pour réprimer le coút de vie en Gréce, qui est toujours particulièrement influencé du prix d'huile d'olive: les faibles quantités des huiles de graine consummées jusqu'à présent démontrent comment l'huile d'olive est préféré de la part de la consommation nationale.

ANEXO XXXVIII

Tunísia

(Extracto duma nota do Office de l'Huile d'Olive de Tunisie)

Situation oléicole ai 30 avril 1955

l) Contrairement à toutes les prévisions, avril a été pluvieux. Dans tous les secteurs oléicoles on a enregistré des précipitations variant, pour les mínima de 40 à 54 m/m, pour les maxima atteignant et dépassant 120 m/m.
Les inquiétudes que pouvait donner, non pour la récolte mais pour les arbres eux-mêmes, le secteur de Zarzis, sont efacées du fait de la pluviométrie enregistrée qui, pour certain centres, atteint et dépasse en huit jours 90 m/m.
A la floraison très précoce notée en janvier a fait suite une température exceptionnelle et si les fleurs prématurément écloses ont coulé, ellea ont été remplacées par des bourgeons floraux et des épanouisseiments normaux.
Il est certes trop tôt pour se prononcer sur la campagne 1955-56; on peut cependent, de la première prospectionm faite, donner quelques indications. Si, dans l'emsemble, la récolte parait devoir ètre meilleurs que celle de 1954-55, elle est toute particuliérement irrégulière.
Le Nord s'annonce comme devant donner une bonne récolte, mais les secteurs oléicoles sont irréguliers et si les oliviers des Ouled Abid ou Cap Bon sont particulièrement beaux, la forêt de Soliman est médiocre. Si Ghardimaou et Pont du Fahs sont excepcionnels, d'autres régions de la vieille Ghaba du Nord laissent à désirer.
Dans le Sahel l'irrégularité est identique; comme dans le Nord, elle est variable suivant les secteurs.
C'est ainsi que la zone côtière Monastir-Djemal-El Djem-Ksour Essaf, englobant Mahdia. est particuliérement belle et prometteuse après les pluies d'avril - que dans le nord du Sahel jusqu'à Enfidaville, malgré une irrégularité, la récolte semble devoir étre plus que bonne movenne tandis que les autres zoues notent une irrégularité compréhensible dans le sens que seuls seront porteurs de fruits les arbres que n'ont ps produits l'an dernier.
Le Centre Ouest donne de grands espoirs.
Daus le Sud, la controverse est grande. Nous estimons, en ce qui nous concerne, qu'à l'exception des ilòts de la Hencha-Triaga et un secteur du Caidat de la Skhira, circonscription à l'entour du Chahal, le reste est tort irrégulier.
Des propriétés témoins de 8000 à 20 000 arbres n'enregistreront que le tiers ou la moitié d'une récolte bonne moyenne.
Dans le Sud-Ouest l'ensemble des forêts parait devoir donner des résultats moyens. Seul l'Extrême-Sud et notamment l'ilôt principal de Zarzis est plus que medíocre. La pluie, dans ce secteur, semble avoir simplement permis la reprise de vitalilé des arbres.
D'une facon générale, les pluies d'avril ont très sensiblemente amélioré la situation. Quoique d'aucuns puissent penser des dégàts causés par cette pluie pour la pollinisation normale, nous croyons qu'elle à sauvé une bonne partie de la récolte et dans certaine zone, celle de l'Extrème-Sud, l'olivier lui-mème.
2) Durant le mois d'avril, sur le marché de Sfax les cours ont été en quelque sorte nominaux, variant de 198 à 200 f pour les extra, et de 181 à 182 F pour les lampantes.
A Sousse des affaires plus nombreuses mais quantitativement réduites ont fait noter les cours de 194 à 200 F pour les extra et de 177 à 182 F pour les base 3"