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II SÉRiE-C—NÚMERO 29

Bragança, príncipe português, tem desenvolvido notável esforço e grande actividade quer na denúncia desse drama quer na persuasão através dos meios de comunicação social para que se atinja uma solução de consenso, justa e pacífica, para a situação criada pelo Govemo de Jacarta, em 1975.

Em carta dirigida ao representante de Portugal da Associação Socialista Timorense (publicada em Lisboa pelo jornal Correio da Manhã, em 1 de Setembro de 1996) propunha D. Duarte de Bragança que «se os timorenses conseguissem um estatuto semelhante ao estatuto da autonomia palestina, nenhuma das partes em questão teria de abdicar dos princípios que defende».

Tal solução, um estatuto de autonomia, conduz à autodeterminação, passando, desde logo que adoptada, pela garantia dos direitos humanos em Timor, o que é imperioso atingir sem delongas de qualquer ordem, onde não pode nem deve vigorar o artifício, na forma de «região autónoma indonésia», que o Governo de Jacarta quer impor ao povo de Timor Leste, tentando assim iludir a opinião pública internacional, através da manutenção arbitrária de um domínio que fere o direito internacional, as tradições culturais e religiosas, o espírito de unidade, numa palavra: o direito à autodeterminação dos Timorenses, à luz dos mais elementa-•res princípios dos direitos humanos. Cumpre-nos a todos nós insistir, vigorosamente, para que sejam respeitados.

Sem a força da nossa voz, conjugada à decisão do Se-cretário-Geral da ONU, à atribuição do Prémio Nobel da Paz a dois dos maiores artífices da resistência maubere, ao clamor mundial que exige o reconhecimento e o restabelecimento autêntico da dignidade em Timor Leste, corre a humanidade o risco — que nos compete evitar— do extermínio de uma comunidade valorosa e de permanecer uma situação de singular vergonha, que sobre nós todos recairá, ao iniciar-se o século xxi, por não termos sabido dar-lhe a tempo o devido remate, à luz da moral e do direito.

Seul, Abril de 1997. —António Henrique Cunha Bueno, Deputado Federa).

ANEXO 2

La coopération pour la paix et la stabilité régionales et mondiales ainsi que pour le respect de la souveraineté et de l'indépendance des États sous toutes leurs formes.

(Résolution adoptée sans vote par la 97e Conférence interpartementaire (Séoul, 14 avril 1997))

La 97e Conférence interparlementaire:

Considérant que l'un des objectifs énoncés dans la Charte des Nations Unies est de maintenir la paix et la sécurité internationales et à cette fin, de prendre des mesures collectives efficaces pour prévenir et éliminer les menaces à la paix; Consciente que la fin de la guerre froide ayant atténué les tensions internationales et renforcé la confiance entre États, il s'en est suivi un climat propre à consolider la coopération internationale à l'instauration de la sécurité et de la stabilité aux niveaux international et régional; Préoccupée par les dangers qui menacent encore la sécurité et la stabilité, notamment les différends et tensions ethniques, nationalistes et religieux, ainsi que par la course aux armements et la prolifération des armes de destruction massive dans cerUKtes régions, auxquels s'ajoute la menace accrue du terrorisme;

Consciente des autres menaces et dangers qui compromettent la sécurité des personnes, des sociétés et des Etats, et qui résultent de la dégradation de l'environnement, de la pauvreté, de la drogue, des troubles politiques, du nombre croissant de réfugiés et de personnes déplacées et de violations des droits de l'homme;

Considérant qu'il incombe à chaque Étal de coopérer à l'instauration de la sécurité, de la stabilité et de la paix tout en respectant la souveraineté et l'indépendance des autres sur une base d'égalité;

Rappelant que, de plus en plus, l'Organisation des Nations Unies a besoin de l'appui des organisations régionales, conformément au chapitre vin de la Charte des Nations Unies, pour résoudre les problèmes de dimension mondiale;

Appelant l'attention sur le rapport établi en 1992 par le précédent Secrétaire général de l'ONU sous le titre de «Agenda pour la paix: diplomatie préventive, rétablissement de la paix et maintien de la paix», ainsi que le supplément de l'«Agenda pour la paix» présenté à l'occasion de la célébration du 50e anniversaire de l'ONU (1995);

Soulignant que la souveraineté nationale et le principe de la non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats sont les piliers de la coopération transnationale;

Considérant que le principe de la non-ingérence est compatible avec le devoir qu'a la communauté internationale de protéger les droits de l'homme inaliénables et les minorités opprimées, et que la violation des droits de l'homme fondamentaux peut mettre en péril la sécurité et la stabilité internationales;

Se félicitant des dernières initiatives prises dans le domaine du désarmement et de la limitation des armements, notamment de la signature du Traité sur l'interdiction complète des essais nucléaires et de la création de zones exemptes d'armes nucléaires dans diverses régions du monda

Consciente qu'il est impératif de renforcer la coopération et la coordination entre l'ONU et les organisations régionales en vue d'instaurer la paix, la sécurité et la stabilité aux niveaux international et régional;

Affirmant que l'aide humanitaire doit être accordée en cas d'urgence et de crise conformément aux principes humanitaires d'impartialité et d'intégrité, dans le respect de l'intégrité territoriale et de la souveraineté des États et avec le consentement des gouvernements là où il y en a;

Préoccupée par les problèmes posés par les lois nationales qui ont des effets extraterritoriaux;

Soulignant le rôle clé que joue la diplomatie parlementaire dans l'instauration de la sécurité et de la stabilité tant régionales qu'universelles, soit par le soutien que les institutions parlementaires apportent à l'action de l'ONU et des organisations régionales en la matière, soit par ce qu'elles font ou ce qu'elles peuvent faire pour prévenir les conflits, y mettre un terme et en atténuer les conséquences:

1 —Invite tous les États à s'acquitter de leurs obligations, en vertu du droit international, à s'abstenir de recourir à la menace ou à l'emploi de la force et à respecter J'inviolabilité des frontières des États et leur intégrité territoriale, le droit des peuples à l'autodétermination, la souveraineté et